Raccolta di scritti da « La Forbice »

C’est là un recueil d’écrits d’un « prêtre » qui « nous oblige à penser ».

Une syllabe d’un prêtre écrivain à part entière, « sans titres académiques d’aucune sorte, mais non dépourvu d’écharpes de références ».

Una silloge di “Commenti ai Vangeli della Domenica” – 33 suoi fiori all’occhiello – di “Scritti dedicati al Natale”, di “Scritti dedicati alla Madonna”, di “Omelie dedicate agli sposi”, di “Omelie funebri”, di scritti … d’un «bouffon sauvage».

Mais aussi une extravagante syllabe littéraire d’écrits divers : de « Pensées » (120) : brèves « soudaines » ou « pilules » réfléchies, et poétiques … «faisant irruption dans la dure réalité du réel, avec la force des raisons de l’esprit et de la beauté»; de «Ecrits castellanesi» : «aquarelles» de paysages de Castellana Grotte – pays des Pouilles – et de personnages castellanesi (en réalité, de brefs « discours » funéraires) Eux aussi poétiques … car «le mot, pourvu de lumière pour élaguer les horizons de la vérité humaine, n’en constitue pas le sommet : il l’indique, aide à le rechercher»; et d’autres « Écrits divers », également marqués «par une spiritualité particulièrement fervente», et «d’un vol poétique de l’âme» … Car en eux, « quand le chant est soupir d’infini, la religiosité n’est ni forme, ni formule : elle est impie enveloppante, toujours difficile parole, et plus vivante est la racine ».

Une syllabe culturelle et poétique.

Une encre sage qui réfléchit sur la condition de l’homme, surtout de nous chrétiens, pour que tous ensemble nous puissions nous confirmer :

dans la mission pour le royaume des cieux : un engagement qui « n’est pas seulement résistance, révolte et lutte » « avec » « le désarroi, l’inattention, la répulsion, l’ennui » – « les femmes de l’Évangile nous donnent une leçon différente » – et « pour » « un amour construit, raisonné, motivé », mais qui est aussi, «patience et dévouement» : dans la diuturna, responsable « préoccupation » – en particulier pour nous les hommes de cette «époque caractérisée par ce qu’on appelle le « tournant anthropologique »» – «de faire en sorte que notre christianisme devienne culture»;

« dans l’observance de la Parole, et dans l’amour pour le Christ et pour le Père, qui n’est pas l’autodétermination, mais don de l’Esprit, qui demande à l’Église une nouvelle compréhension de soi » : un don qui devra donc toujours impliquer « la culture, les exigences culturelles » (les différentes situations historiques), [c’est-à-dire], ces facteurs non absolus qui nous aideront à approfondir et à mieux connaître les exigences « absolues » naturelles, pour lesquelles, l’homme doit toujours être à la recherche : La valeur absolue n’est pas une loi juridique!» ;

dans la conscience crue que « le mal, le péché est quelque chose de tragiquement sérieux ».